Lest we forget what we came here to do
Auteur(s) Sons Of Kemet ;Hutchings, Shabaka (Saxophones) (Clarinette)
Titre(s) Lest we forget what we came here to do / Sons Of Kemet ; Shabaka Hutchings.
Editeur(s) Naim edge records, 2015.
Collection(s) (NAIMCD217).
Autres 1 disque compact
Contient In Memory Of Samir Awad. - In The Castle Of My Skin. - Tiger. - Mo' Wiser. - Breadfruit. - The Hour Of Judgement. - The Long Night Of Octavia E Butler. - Afrofuturism. - Play Mass.
Résumé Après le succès de leur premier album "Burn", en 2013, Sons of Kemet revient avec un nouvel album très attend, 'Lest We Forget What We Came Here To Do.' Donner une suite à "Burn" n'était pas simple - l'album avait gagné une légion de fans parmi lesquels Gilles Peterson (qui avait inclus l'album dans sa liste Worldwide Awards) et le blog anglaisThe Quietus, et le groupe avait aussi remporté le prix du meilleur groupe de Jazz aux MOBO awards récompensant les meilleurs artistes anglais d'origine noire. La barre a été mis très haute pour ce deuxième album, mais les musiciens de Sons de Kemet se sont surpassés, livrant un album bourré à craquer de groove et de riffs euphoriques qui avaient fait le succès de "Burn". Sons of Kemet comprend quelques-unes des meilleures têtes chercheuses de la scène jazz anglaise. Le leader, compositeur, saxophoniste et clarinettiste Shabaka Hutchings continue d'annoncer la couleur aux côtés de ses complices londoniens, Tom Skinner et Seb Rochford (à la batterie) et de la dernière addition, Theon Cross (prenant la relève d'Oren Marshall) au tuba. Plutôt qu'une rupture, 'Lest We Forget What We Came Here To Do' est la continuation des thèmes explorés sur le premier album. Hutchins décrit l'album comme "une méditation sur la diaspora Caribéenne en Grande-Bretagne" et comme "Burn" qui était traversé par des atmosphères et des effets fulgurantes, des influences plus profondes sont incorporés sur Lest We Forget... Celles-ci vont de la relation de Hutchings avec les concepts classiques (sur le titre Mo 'Wiser), aux inspirations littéraires sur des titres comme In The Castle Of My Skin (en hommage au roman éponyme de 1953 de l'auteur Barbadien George Lamming sur l'identité post-coloniale). Quant à The Long Night Of Octavia Butler, c'est un hommage à l'écrivain de science-fiction afro-américaine. Le morceau d'ouverture de l'album reflète une réalité moderne importante pour Hutchings; In Memory Of Samir Awad a été écrit pour commémorer la mémoire d'un adolescent palestinien tué par les forces israéliennes alors qu'il fuyait leurs balles en 2013. Un autre titre crucial sur l'album est le titre Afrofuturism, qui emmene les racines Caribéennes du groupe vers de nouveaux horizons. Le rythme de la basse s'inspire du style traditionnel de la Barbade appelé tuk, similaire à la musique de la Nouvelle-Orléans, mais aussi des racines Afrique de l'Ouest et de la musique de fanfare militaire occidentale. L'énergie de l'album est très certainement une réalisation collective, et au cours de l'année passée, Sons of Kemet a passé ces dernières créations sous le filtre des concerts. 'Lest We Forget What We Came Here To Do' nous apporte une nouvelle cuvée du "supergroup" qu'est Sons Of Kemet: éloquent, féroce, explosif et génial.
Sujet(s) Jazz
Titre(s) Lest we forget what we came here to do / Sons Of Kemet ; Shabaka Hutchings.
Editeur(s) Naim edge records, 2015.
Collection(s) (NAIMCD217).
Autres 1 disque compact
Contient In Memory Of Samir Awad. - In The Castle Of My Skin. - Tiger. - Mo' Wiser. - Breadfruit. - The Hour Of Judgement. - The Long Night Of Octavia E Butler. - Afrofuturism. - Play Mass.
Résumé Après le succès de leur premier album "Burn", en 2013, Sons of Kemet revient avec un nouvel album très attend, 'Lest We Forget What We Came Here To Do.' Donner une suite à "Burn" n'était pas simple - l'album avait gagné une légion de fans parmi lesquels Gilles Peterson (qui avait inclus l'album dans sa liste Worldwide Awards) et le blog anglaisThe Quietus, et le groupe avait aussi remporté le prix du meilleur groupe de Jazz aux MOBO awards récompensant les meilleurs artistes anglais d'origine noire. La barre a été mis très haute pour ce deuxième album, mais les musiciens de Sons de Kemet se sont surpassés, livrant un album bourré à craquer de groove et de riffs euphoriques qui avaient fait le succès de "Burn". Sons of Kemet comprend quelques-unes des meilleures têtes chercheuses de la scène jazz anglaise. Le leader, compositeur, saxophoniste et clarinettiste Shabaka Hutchings continue d'annoncer la couleur aux côtés de ses complices londoniens, Tom Skinner et Seb Rochford (à la batterie) et de la dernière addition, Theon Cross (prenant la relève d'Oren Marshall) au tuba. Plutôt qu'une rupture, 'Lest We Forget What We Came Here To Do' est la continuation des thèmes explorés sur le premier album. Hutchins décrit l'album comme "une méditation sur la diaspora Caribéenne en Grande-Bretagne" et comme "Burn" qui était traversé par des atmosphères et des effets fulgurantes, des influences plus profondes sont incorporés sur Lest We Forget... Celles-ci vont de la relation de Hutchings avec les concepts classiques (sur le titre Mo 'Wiser), aux inspirations littéraires sur des titres comme In The Castle Of My Skin (en hommage au roman éponyme de 1953 de l'auteur Barbadien George Lamming sur l'identité post-coloniale). Quant à The Long Night Of Octavia Butler, c'est un hommage à l'écrivain de science-fiction afro-américaine. Le morceau d'ouverture de l'album reflète une réalité moderne importante pour Hutchings; In Memory Of Samir Awad a été écrit pour commémorer la mémoire d'un adolescent palestinien tué par les forces israéliennes alors qu'il fuyait leurs balles en 2013. Un autre titre crucial sur l'album est le titre Afrofuturism, qui emmene les racines Caribéennes du groupe vers de nouveaux horizons. Le rythme de la basse s'inspire du style traditionnel de la Barbade appelé tuk, similaire à la musique de la Nouvelle-Orléans, mais aussi des racines Afrique de l'Ouest et de la musique de fanfare militaire occidentale. L'énergie de l'album est très certainement une réalisation collective, et au cours de l'année passée, Sons of Kemet a passé ces dernières créations sous le filtre des concerts. 'Lest We Forget What We Came Here To Do' nous apporte une nouvelle cuvée du "supergroup" qu'est Sons Of Kemet: éloquent, féroce, explosif et génial.
Sujet(s) Jazz
Exemplaires
| Titre | Espace | Localisation | Cote | Utilisation | Disponibilité | Bib. d'origine |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Lest we forget what we came here to do | Musique | Jazz - Blues - Soul | 1.3 SON 7 | Prêt normal | Disponible | Plérin |
