La Chambre ardente
Auteur(s) Carr, John Dickson (1906-1977) (Auteur) ;Endrèbe, Maurice-Bernard (1918-2005) (Autres)
Titre(s) La Chambre ardente : roman / John Dickson Carr ; traduit de l'anglais par Maurice-Bernard Endrèbe.
Editeur(s) Paris : Oswald, 1983 (53-Mayenne : Impr. Floch).
Collection(s) (Le Miroir obscur, ISSN 0753-616X ; 64).
Autres 238 p.
. couv. ill.
. 22 cm
Résumé À 56 ans, Miles Despard décède d'une gastroentérite mal soignée. Son corps est placé dans le caveau familial où reposent déjà neuf générations, au milieu du parc de sa propriété, à Crispen. Mais une rumeur laisse entendre que sa mort n'est pas naturelle. Mark, son neveu, propose à un intime de la famille, le docteur Partington, d'effectuer une autopsie. Une nuit, accompagné du gardien de la propriété et d'un ami écrivain, Edward Stevens, il procède à l'ouverture du cercueil. Le cadavre a disparu alors que le caveau était scellé. Mieux, l'épouse du gardien prétend avoir entendu Miles converser avec une femme la nuit de son décès. A-t-elle eu des visions en affirmant que celle-ci a traversé le mur, costumée en Marquise de Brinvilliers ? Faut-il encore croire aux fantômes ? Ce récit, qui mêle habilement mystère et fantastique, reste le plus célèbre de John Dickson Carr. Publié en 1937, ce chef-d'oeuvre, qui n'a pas pris une ride, offre deux problèmes de chambre close qui raviront les amateurs. --Claude Mesplède.
Lien(s) Traduit de : The Burning court.
Titre(s) La Chambre ardente : roman / John Dickson Carr ; traduit de l'anglais par Maurice-Bernard Endrèbe.
Editeur(s) Paris : Oswald, 1983 (53-Mayenne : Impr. Floch).
Collection(s) (Le Miroir obscur, ISSN 0753-616X ; 64).
Autres 238 p.
. couv. ill.
. 22 cm
Résumé À 56 ans, Miles Despard décède d'une gastroentérite mal soignée. Son corps est placé dans le caveau familial où reposent déjà neuf générations, au milieu du parc de sa propriété, à Crispen. Mais une rumeur laisse entendre que sa mort n'est pas naturelle. Mark, son neveu, propose à un intime de la famille, le docteur Partington, d'effectuer une autopsie. Une nuit, accompagné du gardien de la propriété et d'un ami écrivain, Edward Stevens, il procède à l'ouverture du cercueil. Le cadavre a disparu alors que le caveau était scellé. Mieux, l'épouse du gardien prétend avoir entendu Miles converser avec une femme la nuit de son décès. A-t-elle eu des visions en affirmant que celle-ci a traversé le mur, costumée en Marquise de Brinvilliers ? Faut-il encore croire aux fantômes ? Ce récit, qui mêle habilement mystère et fantastique, reste le plus célèbre de John Dickson Carr. Publié en 1937, ce chef-d'oeuvre, qui n'a pas pris une ride, offre deux problèmes de chambre close qui raviront les amateurs. --Claude Mesplède.
Lien(s) Traduit de : The Burning court.
Exemplaires
| Titre | Espace | Localisation | Cote | Utilisation | Disponibilité | Bib. d'origine |
|---|---|---|---|---|---|---|
| La Chambre ardente | Adultes | Magasin 1 | R CAR | Prêt normal | Disponible | Ploufragan |
